Bien-être

4 façons de surmonter votre crise de quart de vie (et de redéfinir le succès)

Par Patrick Dubuisson , le mardi, 25 octobre 2022, 19h45 — Crise - 18 minutes de lecture
4 ways to overcome your quarter-life crisis (and redefining success)

Ma crise de quart de vie s’est produite quand j’avais 24 ans.

Je pensais que j’avais planifié ma vie entière. J’allais enseigner l’anglais au lycée pendant quelques années. Puis, je m’inscrirais dans des écoles supérieures pour obtenir une maîtrise en beaux-arts ou un autre type de diplôme d’anglais de niveau supérieur.

Puis, j’obtiendrais mon diplôme. Je serais embauché (immédiatement, évidemment) comme professeur d’écriture créative à l’université. Et voilà ! J’avais ma vie toute tracée. Ou du moins je le pensais.

Mais après seulement quelques mois d’enseignement, j’ai réalisé quelque chose. Je n’étais pas fait pour être enseignant. Ce n’était tout simplement pas quelque chose que je me voyais faire. Je ne pouvais pas m’imaginer enseigner – même quelque chose que j’aimais vraiment – pour le reste de ma vie.

Que faire maintenant ? Je me suis laissé aller. Je ne prenais pas bien soin de ma santé mentale. J’avais l’impression d’avoir échoué, de ne pas pouvoir respecter le seul plan que j’avais établi. Je n’avais pas d’entraînement mental solide pour amortir ma chute. Je vivais sans but ni direction. J’avais l’impression d’avoir perdu tout pouvoir dans ma vie – et je ne savais pas où j’allais aller ensuite.

« Sur le papier, j’avais tout. Tout était parfait dans mon travail, sauf une chose minuscule, mais importante : j’étais malheureuse… C’était la douleur de la confusion. C’était la douleur de grimper l’échelle de la carrière vers le succès et de réaliser que je n’étais nulle part. J’étais quelque part où je ne voulais pas être. J’étais coincé dans une crise de quart de vie. »
Adam Smiley Poswolsky, auteur

J’ai commencé à postuler frénétiquement à des emplois, sans réelle direction ou idée de ce que je voulais faire. Je postulais pour tout, des ventes à la gestion des comptes, en passant par le service clientèle et le marketing. Mais pendant que je cherchais du travail, j’écrivais aussi. Je travaillais en free-lance, décrochant des contrats ici et là. J’ai créé mon propre blog et mon site web. Et bien sûr, j’ai fini par sortir de ma crise de quart de vie.

J’ai trouvé un secteur et un parcours professionnel que j’aime. J’ai revu mes valeurs et mon objectif et j’ai cherché des choses qui correspondaient à ce que je suis en tant que personne. Et j’ai commencé à prendre des habitudes saines, adaptées à mon mode de vie.

Avec le recul, ma crise de quart de vie se serait beaucoup mieux passée si j’avais eu du soutien. Mais j’étais têtue et déterminée à surmonter l’incertitude par mes propres moyens. Mais j’ai appris quelques leçons depuis que j’ai 24 ans. Si je pouvais me donner un conseil sur la façon de traverser une crise de quart de vie, ce serait celui-ci . Ne le fais pas seul.

Dans cet article, vous apprendrez à identifier les symptômes de la crise du quart de vie. Vous apprendrez également ce qui peut déclencher une crise du quart de vie – et des conseils pour vous aider à la surmonter.

Qu’est-ce qu’une crise de quart de vie ?

Tout d’abord, comprenons ce que l’on entend par crise du quart de vie. Selon Forbes, une crise de quart de vie est définie comme une période « d’intense remise en question et de stress ».

La recherche nous a montré que les crises de quart de vie sont plus courantes que nous ne le pensons. Selon une enquête, 86 % des milléniaux ont vécu une crise de quart de vie. Certains ont fait état d’un stress lié à l’argent. D’autres ont fait état de pressions pour se marier, fonder une famille et s’installer. Et d’autres encore ont fait état d’un stress lié aux finances, à la carrière et aux relations.

Notre société est en constante évolution. Je me souviens avoir ressenti le stress de la carrière, des relations et de la famille pendant ma vingtaine. Et pour être honnête, je ressens encore un peu de ce stress aujourd’hui, à la trentaine.

J’avais l’impression que certains de mes amis avaient leur vie bien définie. Certaines se mariaient et avaient des enfants. D’autres gravissaient les échelons de leur entreprise. Quelques-uns avaient même créé leur propre société ou leur petite entreprise. Et moi, je n’étais pas sûre de ce que j’allais manger ce soir-là.

Parfois, il se peut que vous traversiez une crise de quart de vie sans vous en rendre compte. Voici quelques symptômes de la crise du quart de vie :

  • Vous avez l’impression de perdre du temps, les activités n’ont pas de sens et vous n’avez pas d’objectif.
  • Vous avez des difficultés à prendre des décisions
  • Vous vous languissez (comme si vous étiez bloqué, que vous ne faisiez que suivre le mouvement sans être pleinement présent).
  • Vous avez perdu votre motivation, surtout pour les choses que vous aimez.
  • Vous êtes fatigué ou plus stressé que d’habitude.
  • Vous pouvez ressentir des symptômes d’anxiété ou de dépression
  • Vous avez peur de faire un changement dans votre vie, même si vous savez que c’est un bon choix.
  • Vous avez l’impression que votre confiance en vous a été affectée (baisse de l’estime de soi).

Il est important de noter une chose : la définition de la réussite dans la société change. En particulier au sein de COVID-19, nous apprenons ce qui est le plus important pour nous. Et en tant qu’êtres humains, nous sommes tous uniques. Nous accordons de la valeur à des choses, des expériences et des objectifs différents en fonction de ce que nous sommes en tant que personnes.

Les êtres humains et la société sont en constante évolution. Et nous ne sommes pas dans une course les uns contre les autres. Ma définition du succès est probablement très différente de la vôtre. Et ce n’est pas grave. Parlons de ce qui peut déclencher une crise de quart de vie – et de la façon de la gérer.

Qu’est-ce qui déclenche une crise de quart de vie ?

Comme pour la crise de la quarantaine ou tout autre type de crise existentielle, il existe des éléments déclencheurs de la crise du quart de vie. Bien que ces déclencheurs ne soient pas la seule cause de la crise du quart de vie, ils peuvent contribuer aux symptômes que vous pouvez ressentir.

Alors, quelles sont les causes d’une crise du quart de vie ? C’est une question délicate. Il n’y a pas une cause ou une réponse unique.

En fait, il peut s’agir d’une combinaison de facteurs qui vous donnent l’impression d’avoir perdu le contrôle de votre vie. Ce type de crise est souvent lié à notre sentiment d’identité. Lorsque quelque chose se produit qui remet en question ou change notre sentiment d’identité, cela peut être désorientant et effrayant – d’où le terme « crise ».

Voici 8 déclencheurs potentiels d’une crise de quart de vie :

  • Perte d’emploi (ou insécurité de l’emploi ou problèmes de stabilité de l’emploi)
  • Une rupture ou la fin d’une relation significative
  • Déménagement dans un nouvel endroit où vous ne connaissez peut-être personne.
  • Vivre seul pour la première fois
  • Insécurité ou instabilité financière
  • Perte d’un être cher, d’un membre de la famille ou d’un ami (en deuil)
  • Mariage ou engagement dans une relation importante
  • Diplôme d’université sans plan pour la suite

A quel âge peut-on parler de crise de quart de vie ?

Le terme « crise du quart de vie » indique qu’elle se produit dans les premiers 25% de la vie d’une personne. Mais en réalité, ce n’est pas comme si la crise du quart de vie allait se produire à un âge précis. Alors, à quel âge peut-on parler de crise du quart de vie ?

A quel âge peut-on parler de crise de quart de vie ?

Une crise de quart de vie se produit généralement dans la vingtaine ou la trentaine. Elle varie d’une personne à l’autre en raison des circonstances de la vie.

Il n’y a pas de « mauvais » âge pour faire une crise de quart de vie. La réalité est que nous traversons tous les étapes de la vie à notre propre rythme. Il se peut que nous vivions dans notre trentaine un événement déclencheur que certains de nos amis ont vécu dans leur vingtaine. Comme avoir un bébé, se marier ou vivre une rupture.

Essayez d’éviter de jouer le jeu des comparaisons. Il est difficile de ne pas considérer la vie comme une course vers la ligne d’arrivée. Pour une raison ou une autre, il semble humain d’atteindre des « niveaux » de vie. Bien que progressivement (et heureusement), notre société s’éloigne de ces attentes et normes rigides. Nous allons maintenant parler des signes de la crise du quart de vie et de la façon dont vous pouvez la gérer.

8 signes de la crise des quarts de vie

Avant de pouvoir gérer votre crise de quart de vie, vous devez déterminer si vous en faites partie. Voici huit signes qui indiquent que vous pourriez vivre une crise de quart de vie.

1. Vous ne savez pas quoi faire de votre vie.

Vous êtes-vous demandé : « Que dois-je faire de ma vie ? » Si c’est le cas, vous n’êtes pas seul. Souvent, cette question peut se poser tout au long de votre vie. Au fur et à mesure que vous faites de nouvelles expériences, que vous grandissez, que vous apprenez et que vous changez, votre orientation dans la vie changera aussi.

La première fois que vous vous posez cette question, c’est souvent pendant la crise de quart de vie. Et ce n’est pas grave. Parfois, c’est ce dont vous avez besoin pour stimuler un changement dans votre vie.

Par exemple, mon mari travaillait pour une entreprise de vinification et de distribution d’alcool. Mais à la fin de sa vingtaine, il a complètement remis en question son objectif. Il n’était pas sûr que ce soit vraiment ce qu’il devait faire de sa vie. Alors, il a fait un changement. Nous parlerons de cette envie de changement dans la section suivante.

2. Vous avez envie d’un changement

Vous vous sentez peut-être inquiet de la situation dans laquelle vous vous trouvez. Parfois, cela se traduit par des comportements impulsifs comme le fait de quitter votre emploi (même si vous n’avez pas d’autre emploi en vue). D’autres fois, cela se traduit par un sentiment de langueur. Vous pouvez ressentir un sentiment d’engourdissement face à la vie qui vous entoure, mais au fond de vous, vous savez que vous avez besoin de quelque chose de différent.

Si ce changement de vie vous démange, vous avez la possibilité de le réaliser. Avec RecrutementPro, vous pouvez travailler avec votre coach pour vous aider à surmonter votre peur du changement. Le soutien d’un coach peut vous aider à prendre les rênes de votre carrière (et de votre vie).

3. Vos relations sont plus fluctuantes que d’habitude

Il est normal que les relations évoluent et changent au fil du temps. Mais si vous remarquez que vos relations fluctuent plus que d’habitude, cela pourrait être le signe d’une crise de quart de vie.

Par exemple, vous avez peut-être récemment rompu avec votre partenaire. Ou vous pouvez décider de vous isoler et d’ignorer certains de vos amis les plus proches et de vos proches. Aucune de ces décisions n’est mauvaise en soi. Mais il est important de regarder vers l’intérieur.

Pourquoi vos relations changent-elles ? Qu’est-ce qui, dans ces relations, vous fait remettre en question votre investissement ou votre engagement ?

4. Vous pouvez ressentir un sentiment d’isolement social

Ce signe peut parfois aller de pair avec des relations fluctuantes. Souvent, lorsque les gens décident de couper les liens avec une personne, ils peuvent se sentir isolés.

Si vous ressentez des symptômes d’isolement, réfléchissez aux moyens d’intégrer des liens sociaux dans votre plan de remise en forme mentale. Par exemple, pouvez-vous vous inscrire à un nouveau cours ou essayer un nouveau studio de yoga ? Ou peut-être pouvez-vous rechercher un groupe de soutien ? Votre coach peut vous aider à surmonter vos sentiments d’isolement.

5. Vous avez l’impression de devoir trouver un but

Les gens cherchent (et trouvent) leur but, aujourd’hui plus que jamais. La pandémie a mis en lumière ce qui est le plus important dans nos vies. Et à juste titre, elle a amené beaucoup de gens à se demander s’ils avaient vraiment un but dans la vie.

Vous ressentez peut-être un vide dans votre vie. Vous avez peut-être l’impression que vos actions, votre carrière, vos relations ou même votre personnalité n’ont pas de sens. Si vous êtes à la recherche d’un but, essayez de faire une introspection. Quelles sont les valeurs les plus importantes pour vous ? Qu’est-ce qui vous tient le plus à cœur dans le monde ?

6. Vous vous sentez plus vulnérable

Les sentiments d’insécurité arrivent à tout le monde. Mais pendant une crise de quart de vie, vous pouvez vous sentir de plus en plus insécure.

Parfois, ce sentiment est lié à une cause ou à un déclencheur spécifique, comme la perte de votre emploi. Par exemple, vous pouvez éviter de participer à des événements sociaux parce que vous ne voulez pas parler de vos perspectives de carrière. Il peut aussi s’agir d’un sentiment général d’insécurité lié aux relations ou à l’image que vous avez de vous-même.

7. Vous avez du mal à prendre des décisions (même si vous savez que c’est une bonne décision).

Avez-vous l’impression de patauger dans la vie ? Avez-vous du mal à prendre une décision, même si vous savez que c’est la bonne ?

Lorsque je traversais ma propre crise de quart de vie, je savais que je voulais quitter mon emploi. Je savais que ma carrière d’alors ne me convenait pas. Pourtant, j’ai tenu bon aussi longtemps que possible avant de prendre cette décision. Pourquoi cela ? Si je savais que la décision était bonne pour moi, qu’est-ce qui me retenait ? Un seul mot : la peur.

Même si je savais que c’était le bon choix, c’était la peur de l’inconnu. J’avais beaucoup d’incertitudes sur ce que mon avenir me réservait. Mais la réalité était que si je restais, je ne ferais que prolonger l’inévitable et retarder ma propre croissance et mon apprentissage.

8. Vous vous comparez aux autres (surtout avec les médias sociaux)

Avec les médias sociaux de nos jours, le jeu des comparaisons est à son comble. Il est difficile de faire défiler les messages de tout le monde sans penser que les médias sociaux ont un impact sur votre santé mentale. Parfois, vous ne remarquez même pas l’effet qu’ils ont sur vous.

Si vous vous comparez constamment aux autres, vous traversez peut-être une crise de quart de vie. Il est difficile de ne pas se comparer aux autres que nous connaissons. En tant qu’êtres humains, c’est naturel. Mais si le jeu de la comparaison a un impact sur votre bien-être mental, il est temps de changer.

4 façons de gérer la crise du quart de vie

Commencez par l’auto-réflexion

Notre PDG Alexi Robichaux raconte comment sa propre expérience d’épuisement professionnel et de perte d’objectif à la fin de la vingtaine l’a amené à faire le point, à changer de cap et finalement à cofonder RecrutementPro. Dans cet épisode de Masters of Scale, Alexi parle du moment où il a décidé de faire une pause et de réfléchir.

Faites l’inventaire de la situation dans laquelle vous vous trouvez dans votre vie. Comment vous sentez-vous ? Quelles émotions éprouvez-vous ? Qu’est-ce qui vous apporte du stress et de l’anxiété ? Quelles sont vos valeurs ? Vivez-vous vos valeurs dans votre vie quotidienne ? Quels sont vos rêves, vos objectifs et vos ambitions ? Progressez-vous vers la réalisation de ces rêves ?

Faites de la place pour la réflexion. Cela peut prendre la forme d’un journal, d’une méditation, de la pleine conscience ou d’une autre forme de Travail Intérieur®. Mais vous devez être vulnérable et honnête avec vous-même, ce qui n’est pas toujours facile.

Êtes-vous heureux de la situation dans laquelle vous vous trouvez ? Vivez-vous vos valeurs ? Qu’avez-vous le pouvoir de changer ? Qu’est-ce qui vous motive à changer ?

Construire un plan de fitness mental

Chez RecrutementPro, nous parlons beaucoup de la santé mentale. Bien que la forme mentale comporte des éléments de soins de santé mentale, il s’agit de la façon dont vous vous épanouissez dans votre vie quotidienne. Être une personne en bonne santé mentale signifie que vous êtes mieux équipé pour gérer les hauts et les bas de la vie.

Nos données ont montré que, parmi ceux qui se sentent « coincés » au départ, 77 % des membres améliorent leur bien-être de manière significative en trois ou quatre mois grâce à un soutien personnalisé.

Cela inclut le travail en tête-à-tête avec un coaching virtuel. Mais il peut aussi s’agir de prendre soin de sa santé mentale au quotidien. Ou d’investir dans les relations et les contacts sociaux. Ou encore la poursuite de votre objectif avec clarté. Avec votre coach, vous pouvez élaborer un plan de santé mentale personnalisé qui vous convient.

Pratiquez la patience et l’auto-compassion

Il y aura toujours des bosses sur le chemin. Cela fait partie de la vie d’un être humain. Il est essentiel de faire preuve de patience et de compassion envers soi-même.

Vous êtes un être humain qui vit, respire et apprend. Et parce que vous êtes humain, vous allez faire des erreurs. Vous allez trébucher. Tu vas apprendre ce qui marche et ce qui ne marche pas. Vous allez apprendre de vos échecs.

Essayez de changer d’état d’esprit. Au lieu de vous rabaisser parce que vous vous êtes trompé ou avez fait une erreur, pouvez-vous vous montrer reconnaissant pour la leçon apprise ? Où pouvez-vous être plus gentil avec vous-même ?

Redéfinissez ce à quoi ressemble le succès pour vous

La réussite n’est pas uniforme, quel que soit le message que nous transmet la société. Pour certains, la réussite consiste à avoir une carrière réussie et une famille.

Mais pour d’autres, la réussite peut consister à voyager dans le monde et à découvrir d’autres cultures. La réussite peut consister à investir dans des relations qui comptent et à redonner aux communautés dans lesquelles on vit. La réussite peut consister à être un parent ou un soignant exceptionnel.

Adam Smiley Poswolsky parle de redéfinir le succès dans son livre The Quarter-Life Breakthrough. Au-delà du lieu de travail, il demande aux lecteurs d’examiner ce qui fait vibrer leur cœur. Qu’est-ce qui a un impact ? Comment pouvez-vous poursuivre une carrière (et une vie) qui compte pour vous ?

Nous sommes tous différents. Alors, pourquoi nos définitions du succès seraient-elles les mêmes ? Nous sommes au milieu d’une révolution sur la façon de redéfinir le succès. Prenez une minute pour vous examiner.

Qu’est-ce qui est important pour vous ? Qu’est-ce que vous seriez fier d’accomplir ? Comment pouvez-vous atteindre votre plein potentiel ? À quoi ressemble votre plein potentiel ? Quels jalons voulez-vous atteindre ?

Surmontez votre crise de quart de vie

Partout, les jeunes adultes font l’expérience de la crise du quart de vie. Bien que cela puisse sembler n’arriver qu’aux jeunes de 20 ans, une crise du quart de vie est certainement possible au début de la trentaine aussi.

Peu importe où vous en êtes dans votre vie, nous sommes tous amenés à chercher notre but dans la vie. Qu’il s’agisse de déterminer le chemin de vie à suivre ou de naviguer dans une période d’incertitude, il est difficile de s’y retrouver dans le monde réel.

Une chose qui pourrait vous aider : arrêtez de penser à cela comme à une « crise ».

Ce n’est pas parce que vous vous sentez mal à l’aise, voire effrayé, que c’est mauvais. Une chose que les gens ne reconnaissent pas assez, c’est que les périodes de stress et de défi offrent les meilleures opportunités de croissance personnelle. La croissance n’est pas confortable, mais devenir ce que l’on est censé être en vaut la peine.

Une grande partie du parcours d’un jeune adulte consiste à se découvrir soi-même. Ma mère a un dicton chaque fois que je lui dis au revoir après une visite. « C’est génial de continuer à te connaître. » Pour moi, c’est un petit rappel que nous évoluons, apprenons et grandissons constamment.

Il est naturel pour moi de me demander si je peux faire quelque chose ou atteindre un objectif. Il n’y a pas de problème non plus si je pense que ma vie entière est en pagaille. Pourquoi ? Parce que je sais que j’ai les systèmes de soutien et le potentiel en moi pour surmonter tout ce qui se présente à moi.

Commencez à travailler avec un coach pour vous aider à tracer votre propre chemin de vie. Avec RecrutementPro, vous pouvez libérer tout votre potentiel et commencer à vivre avec un but, une passion et de la clarté.

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Patrick Dubuisson

Je suis un professionnel du recrutement, qui partage sa vie entre sa famille, son boulot, et surtout son boulot.  J'ai 42 ans, toutes mes dents, un labrador, un pavillon de banlieue dans les Yvelines, une femme, deux enfants, un break et je passe des vacances au Touquet tous les ans, quand je ne vais pas chasser l'ours au bord du lac Baïkal ou boire de la vodka avec Nicolas. J'aime la course à pied, le squash, le tennis, le mikado, la vodka et la roulette.

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